Cliquer sur la carte pour l'agrandir dans une nouvelle fenêtre. Reproduite avec l'autorisation d'Alain d'Etigny
Deux heures suffisent pour tout voir (et bien se tremper, presque autant que ceux qui prennent le zodiac pour le salto Tres Mosqueteros) ce qui nous en laisse une pour partir à la recherche des toucans dans le parc des oiseaux, à 200 m de l'entrée.
Débit moyen: 1750 mètres cubes seconde...
Une femelle coati joue les équilibristes...
Il pleut par intermittence… Et les embruns remontent à une vitesse fulgurante le long des cascades quand le vent ne se charge pas de nous les envoyer au visage.
L'extrémité brésilienne de la Garganta del Diablo
Au premier plan à gauche, la plage rouge de l'isla San Martín
Mardi 23 octobre 2012
Ce matin, tôt, le soleil est de retour mais on sent que ça ne va pas durer. Déjà les nuages se regroupent et la pluie menace. Nous prenons le temps de déguster notre petit déjeuner puis partons pour le terminal de bus où nous apprenons que nous venons de rater celui qui part pour les Cataratas brésiliennes, ce qui nous oblige à attendre deux heures de plus! Côté argentin il y a un bus en principe toutes les vingt minutes. Vive les voitures individuelles qui nous évitent toutes les contraintes et ce temps perdu!!
Dans le bus, nous rencontrons un jeune Français de vingt-huit ans, très sympa, Loup, intermittent du spectacle et grapheur, avec qui nous passerons le reste de l'après-midi.
Une partie du río Iguazú, qui arrive du Brésil en se contorsionnant, se rue d’abord avec fracas dans la Garganta del Diablo argentine et le río inférieur, 80 m plus bas, tandis que le reste de ses eaux prend la tangente des hauteurs et s’en va former sur 2,700 km, près de 270 cascades, parfois doubles et triples, au milieu d’épais nuages d’embruns, qui s’écoulent dans la partie inférieure du rio. Au centre, la mesa de l’isla San Martín…
Chutes d'Iguaçu côté brésilien
Buenos Aires - Valparaiso
Des Chutes d'Iguazu au cœur des Andes, de la côte chilienne à l'Atacama